Notre partenaire roumain l’ADDIP aide les enfants des orphelinats à découvrir leur potentiel et à se forger un futur autre que celui que leur prédit la société ou leur propre regard.
Et nous, quel est notre premier réflexe lorsque nous voyons une personne démunie ou marginalisée ? Voyons-nous les apparences ou le caractère unique et le potentiel de cette personne ?
Bien souvent, nous nous arrêtons à ce que nous voyons de premier abord, à l’apparence. Une réaction somme toute humaine face à l’inconnu. Aller vers l’inconnu c’est sortir de notre zone de confort. Pourtant si l’on franchit cette barrière, en allant à la rencontre de l’autre, c’est aussi nous-mêmes que nous découvrons, sous d’autres aspects. Parce qu’aller au-delà des apparences, c’est aller au-delà de nous-mêmes et en sortir grandi. S’impliquer dans des actions de solidarité participe à changer notre regard sur un autre vers lequel nous n’irions pas spontanément. C’est voir la personne derrière la situation.
Changer son regard sur cet autre marginalisé prend souvent du temps. C’est aussi un choix et un engagement. Le choix de sortir de l’indifférence et l’engagement à chercher le trésor, parfois profondément enterré, en chacun.
Un choix et un engagement que nos partenaires ont pris, et aujourd’hui, nous en voyons clairement les résultats. Un choix et un engagement que nous prenons aussi en soutenant leurs actions. Et vous ?
Quelques pistes :
Changer notre regard commence dès la jeunesse : en devenant, par exemple, un Passeur d’espoir. Pour cela il suffit de relever les défis solidaires que nous lançons chaque mois aux 15-25 ans.
Changer notre regard, ça commence au coin de notre rue : c’est pour cela qu’on aime l’initiative Simple comme bonjour, qui offre des conseils afin d’aller à la rencontre des sans-abris dans notre propre quartier.
L'équipe Solidarité Internationale